Les grands triats de la médiumnité, nos hypothèses

Certaines personnes sensibles aux entités témoignent d’une sensation de froid lors d’un contact. Après expérience faite avec deux stations météo en deux endroits différents. Cette sensation n’a rien d’irréelle. La proximité d’un esprit est associée à une vague de froid dans beaucoup de cas. Le froid, dans l’inconscient collectif, a toujours été associé à la mort. Mais des personnes ayant une sensibilité accrue détectent généralement ce froid, sans avoir été prévenu auparavant, qu’un lieu est « chargé »

Si l’on admet l’existence d’un monde parallèle il est possible que les entités ne soient que des « négatifs » de l’humain vivant. De par ce fait elles évolueraient avec une température extrêmement faible. Voir dans des températures négatives. Nos sens sont soit trop évolués pour ressentir pleinement notre environnement, soit trop primitif. L’être humain n’est qu’au début de son évolution.. La sensation de froid ne représente qu’une infime partie de ce que l’humain peut ressentir. Parce que nous avons oublié le savoir des anciens. Ils avaient la connaissance (archaïque mais juste) de l’autre monde. Pourquoi ? Parce qu’ils n’étaient pas influencés par des siècles de formatage cérébral conduit par différents mouvements cartésiens ou sceptiques. Le progrès est l’ennemi de l’initié et les médiums modernes sont les héritiers spirituels de ces personnages.

Le développement personnel permet de toucher du bout du doigt, la connaissance spirite de nos ancêtres. Eux, voyaient, ressentaient et avaient peur des entités mais à juste titre. Les superstitions sont toutes nées d’une réalité historique. L’homme moderne a gardé cette peur dans l’inconscient collectif, mais ne sait pas d’où elle vient ni pourquoi. Nous tentons simplement de réapprendre un savoir perdu qui nous permettrait, à travers nos cinq sens + 1 (peut être 2 ou plus), d’être en symbiose avec ces entités ou simplement de les comprendre.

Après tout la cohabitation n’est pas une utopie. Même si certains cas de hantise démontrent le contraire. Il ne faut pas considérer la malveillance comme une généralité.